La première dimension.
C’est la dimension plaisir ! Le plaisir de voir encore et toujours le soleil se lever sur une nature en piteux état certes, mais une nature qui reste belle si l’on sait comment et ou regarder. Une nature mise à mal par l’activité humaine.
La deuxième dimensions.
C’est le fait de dénoncer ce qui se passe de mauvais dans la politique et l’action humaine, mais aussi le fait de parler, relayer et féliciter les bonnes actions qui ne font pas qu’essayer de protéger notre terre, mais qui œuvrent avec le cœur et la logique pour essayer de sauver ce qui peut-encore l’être. Dénoncer aussi les initiatives citoyennes qui, malgré leur bonnes intentions, mettent en péril des pans de l’humanité .
La troisième dimension.
C’est la création ! Faire travailler son imagination pour se différencier des autres, se donner les moyens de vivre de sa passion en respectant notre environnement et en respectant l’abeille, cette grande ouvrière qui oeuvre jusqu’à l’épuisement pour l’intérêt commun de la colonie, c’est à dire la survie.
Se donner les moyens de travailler sainement et sereinement, c’est dur lorsque l’on part de rien, mais c’est faisable. Investir tout son temps et son argent, travailler en parallèle pour un employeur afin de se financer sans s’adresser à un établissement bancaire, juste histoire de se dire que c’est sain. Cela vaut le coup…
Ce texte se veut court et incomplet, mais s’il à touché votre intérêt, vous le retrouverez en intégralité dans l’onglet actualité.
Merci pour votre visite et à tout bientôt.
P.A
